★Numérique: 7.99 € ★Broché: 14.90 € RésuméMichael Crist. Un nom qui fait frissonner chaque fille de notre petite communauté privilégiée de la côte Est. Moi comme les autres. Sauf que moi, ce n est pas sa beauté à couper le souffle ou le fait qu'il soit riche et adulé qui me fascine enfin, pas seulement. Non, moi, c est la noirceur que je devine sous sa carapace dorée. La violence dans son regard noisette. Son mépris pour les règles, les lois, la morale. Ce miroir permanent de tout ce qui est noir et sombre au fond de moi. En dix-neuf ans, Michael ne m a jamais jeté un regard. Mais, le jour où il s intéresse à moi, je ne sais pas si je dois être excitée... ou terrifiée. mon avisextraits« Ces allumettes ne ce sont les espoirs, les souhaits, les rappeles et toutes les fois où j’ai souri, parce que je saavis qu’il avait pensé à moi pendant qu’il était loin. Tu as peut-être de l’argent, des filles à pelle, des voitures et des fringues à la mode, mais j’ai bien plus que toi dans cette petite boite. »
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★Numérique: 3.99 € ★ Poche: 4.99€ résuméProfesseur d’art à l’université, Conrad enchaîne les aventures sans lendemain. À 32 ans, il est en pleine remise en question : il aimerait trouver sa muse, celle qui rallumera chez lui la flamme créatrice, celle auprès de laquelle il se réveillera chaque matin. Quand il rencontre Samantha, il tombe instantanément sous son charme. Cette femme le subjugue, le fascine, et il devine qu’il lui plaît ; pourquoi s’obstine-t-elle alors à le repousser ? Depuis ce diagnostic qui a bouleversé sa vie, Samantha n’est plus la même. Si sa maladie l’a forcée à reprendre sa vie en main et à revoir ses priorités, ses cicatrices lui rappellent sans cesse la trahison de son propre corps ; un corps qui est devenu un étranger. Et si elle-même ne parvient pas à s’accepter, comment un homme pourrait-il l’aimer ? MON AVISLu en Avril 2018 Je suis toujours agréablement surprise quand je lis un livre d’Alfreda Enwy et c’est ce qui m’a poussé à précommander celui-ci dès l’annonce de sa sortie papier. Samantha est une jeune femme qui se consacre entièrement à la guérison de son cancer. Pour cela elle se pousse à essayer de réaliser son rêve, à croire en elle, pour ainsi avoir une vie normale. Un jour elle sera amené à rencontrer Conrad, un professeur d’université et le cocon qu’elle tentait de se créer sera rapidement impacté… Samantha est le genre de personnage qui ne peut que nous toucher, pas pour sa maladie, mais plutôt pour son fond. Elle est forte, courageuse, douce et pourtant terrorisé par le futur. Conrad est quant à lui arrogant au premier abord, puis touchant, attentionné et patient. Entre eux c’est une relation belle et profonde qui va naitre. La jeune fille restera incertaine dû à son manque de confiance en elle et la peur qui la ronge. Tandis que Conrad sait le combat qu’il a envie de mener. À travers le sujet délicat et sensible qu’est le cancer, l’auteur fait comprend l’importance de la famille. En effet la jeune fille possède un magnifique soutien quotidien et l'auteure montre que c’est la famille qui donne la force pour combattre. Il est vrai que par la forte présence du cancer dans ma vie personnelle c’est un sujet délicat que j’apprécie toujours de découvrir. Autant pour la manière différente dont les personnages sont exploités que par le courage décrit qui n’est jamais identique. Alors j’ai apprécié retrouver la plume délicate et sensible d’Alfreda à travers cette histoire attachante et poignante. Pour conclure, Breaking my heart est l’histoire d’un combat quotidien et d’une seconde chance donné par la vie. Alfreda Enwy a su exploiter une maladie pour rendre le tout authentique et boulversant. extraits« - N’oublie pas, Samantha, qu’il n’y a pas de petites victoires, mais seulement des victoires. "– Ça doit être fascinant de regarder l’étincelle dans tes yeux quand tu remarques une chose que tu ne peux t’empêcher de dessiner. d'Alfreda Enwy :★Numérique: 10.99 € ★Broché : 15,95€ en partenariat avec :résumé ET SI NOTRE HISTOIRE D'AMOUR ÉTAIT DÉJÀ ÉCRITE ? Annabelle, 17 ans, mène une vie parfaite. Des parents adorables, une superbe maison, et des résultats scolaires remarquables. Mais cette vie idéale bascule le jour où une auteure de romances ados à succès vient dans son lycée présenter son nouveau roman. Annabelle est frappée par la similarité entre sa vie et celle de l'héroïne que décrit l'auteure... Et lorsqu'elle rencontre Will, le nouveau du lycée, elle comprend qu'il a forcément été " imaginé " pour elle : il est parfait ! Il a les mêmes passions qu'elle, il est attentionné et il est sublime... Mais alors qu'elle s'apprête à sortir avec lui, son ami d'enfance, Elliott, semble soudain s'intéresser à elle. Annabelle ne peut s'empêcher de penser au cliché n° 1 des romances : le triangle amoureux ! Hors de question qu'elle tombe dans ce piège... Il est temps pour Annabelle de reprendre en main sa propre destinée. mon avis Lu en mai 2018 Lucy Keating est connue pour son roman « Dreamology » que je n’ai pas eu l'occasion de lire. Alors en découvrant cette belle couverture et son résumé, je me suis laissé tenter. Je remercie donc Camille des Éditions Michel Lafon pour cette découverte. C’est l’histoire d’Annabelle qui a une vie parfaite, cependant du jour au lendemain son quotidien se retrouve chamboulé. Ses parents divorcent, sa maison d'enfance sera vendue et elle ne sait pas comment gérer tout ça. Un jour, une auteure vient au lycée pour faire une conférence et en vient à parler de son nouveau roman qui est étrangement similaire à la vie d’Annabelle. La jeune fille va alors discuter avec l’auteure et cette dernière va lui avouer que c’est elle qui écrit sa vie. Face à cette révélation, Annabelle luttera pour ne pas y croire, jusqu’à ce que plusieurs détails la fassent comprendre que l’auteure dit vraie. Cette jeune fille prendra alors la décision de reprendre sa vie en main et de se la jouer stratège. L’originalité de ce roman s’explique par la présence de l’auteur dans l’histoire, en effet Lucy Keating s’est créé son propre rôle. Le point fort c’est ainsi de voir à quel point un auteur invente, dirige et contrôle ses personnages, son histoire, pour ainsi créer un roman. Mot à mot devient alors l’histoire d’un personnage qui se rebelle contre son auteur. C’est une histoire faite pour les adolescents, avec des belles leçons. On comprend à travers cette lecture qu’il ne faut pas toujours faire les bons choix dans le but de rendre notre vie parfaite. Qu’il faut être capable de prendre des risques et de faire ce que l'on souhaite. J’ai pu néanmoins souligner durant ma lecture un manque de profondeur dans ce roman. C’est surement à cause de mon âge et donc des exigence que j'ai. Puisque si je l’aurais lu plus jeune, j’aurais sans aucun doute eu un coup de cœur. Pour conclure, Mot à mot est une romance adolescente mignonne et originale qui entremêle des personnages fictifs avec une auteure réelle. C’est un roman qui représente une lutte pour réussir à écrire sa vie, avec ses propre choix et ses risques. extraits « - Quel est l’endroit sur lequel les auteurs n’écrivent jamais ? Où rien d’intéressant ne se passe d’habitude ? «Tu es très déterminée depuis toute petite, et tu t’es toujours lancée dans ce que tu voulais faire sans la moindre hésitation. » ★Numérique: 5.99 € résuméPas de contact physique, pas de démonstration en public et pas d’autre fille. Paiement de l’acompte avant le week-end et le reste à la fin. Telles sont les conditions de Poppy pour qu’elle accepte de se faire passer pour la petite amie d’Eren le temps d’un week-end. Si le principe la révolte, elle doit pourtant admettre que ce job tombe à pic, car sa situation de jeune étudiante et de mère célibataire est précaire et Poppy peine à subvenir aux besoins de sa fille. Seulement, pour que leur couple soit crédible et fasse illusion auprès de la famille d’Eren, elle va devoir faire connaissance avec ce dernier, qui n’est autre que le capitaine de l’équipe de basket et la star de l’université. Faire semblant d’être amoureuse du mec le plus beau et le plus populaire de tout le campus ? Facile. Ne pas tomber amoureuse de lui ? Moins facile… mon avisLu en janvier 2018 Depuis le temps, il n’est pas difficile de savoir qu'Alfreda Enwy est à mes yeux une valeur sûre. J’ai donc attendu le bon moment pour débuter ce roman et il m’a accompagné pour le changement d’année. Love deal c’est l’histoire de Poppy et Eren qui vivent dans deux mondes différents. Un jour, un compromis se créer entrer eux. Elle devra se faire passer pour sa copine le temps d’un weekend et en échange lui devra la payer. Ce simple deal les sauves tous les deux. Sans même les faire douter que, ce simple deal, changera leur vie. Poppy est une jeune femme chargée de responsabilité qui jongle entre mère célibataire et étudiante assidu. Elle montre dès le début son indépendance avec l’éducation de sa fille Charlie âgée de 4 ans. Eren est quant à lui le capitaine de l’équipe de basket de l’université, populaire et ambitieux. La seule chose qui compte pour lui c’est son avenir professionnel. Le deal ne se forme pas facilement, en effet Poppy est loin d’être pour ce jeu de comédie, étant mère, elle se doit d’avoir la tête sur les épaules. Pourtant les circonstances feront que ça sera sa seule solution. Eren quant à lui utilisera toute sorte de stratégie pour qu’elle accepte. Ce que j’ai apprécié, c’est que le résumé sur la quatrième de couverture ne dévoile qu’une partie du roman, alors le lecteur se retrouve entièrement dans la découverte pour la suite. Au fil de la lecture, nous découvrons deux personnalités tellement différentes qui se complète pourtant si bien. Puis, les thèmes mis en avant apportent la beauté de ce roman. Avec certes des sujets courant avec l’université et la popularité, mais à côté de ça il y a les passions : le basket et le roller derby. Puis, il y a le plus touchant, l’amour d’une mère étudiante. C’est une situation peu exposée dans les romans qui est pourtant si présent et ça pousse à réfléchir selon moi. Les personnages secondaires sont également attachants et bien construits ce qui apporte de la curiosité. Les pages s’enchainent à vive allure et l’envie de savoir la suite est indispensable. Pour conclure, Love deal est une lecture rafraichissante et belle à la fois. Alfreda Enwy a su apporter les bons ingrédients pour rendre le résultat unique grâce à de l’humour et des émotions. extraits– Je n’ai pas reçu de photo aujourd’hui, dit-elle en me fixant. Tu ne m’aimes plus, Escort Boy ? La flamme de notre faux couple s’est-elle déjà éteinte ? J’ai l’impression qu’elle me défonce à la batte de base-ball. Et Poppy est extrêmement agile avec une batte dans la main, elle ne rate aucun coup. de l'auteur★Numérique: 11.99 € ★Broché : 15,95€ en partenariat avec : résumé Être une sorcière dyslexique est une véritable malédiction. Mais après des années à s'emmêler dans les formules, Miranda maîtrise enfin ses pouvoirs ! Alors qu'elle pense son année toute tracée, et que son pire dilemme est de choisir entre un séduisant métamorphe et un ténébreux sorcier, la jeune fille frôle la mort dans l'explosion d'une maison. Comme séquelle de cet accident, elle garde un étrange tatouage qui s'étend inexplicablement sur tout son corps. En plus de ce mystère à résoudre, sa sœur disparaît soudainement. A-t-elle été enlevée ? Miranda est prête à tout pour rétablir la vérité... mon avis Lu en mars 2018 J’ai eu l’occasion de lire les cinq premiers tomes de cette saga il y a 3 ans. En réalité, ce sixième tome est un hors-série puisqu’il raconte l’histoire de Miranda qui était lors des cinq premiers tome un personnage secondaire. Cette sortie inattendue a été l’occasion de me replonger dans cet univers que j’ai tant adoré. Miranda est une sorcière dont son quotidien est impacté par sa dyslexie, alors pour combiner la magie avec sa scolarité, c’est difficile. À côté de ça, son cœur est partagé entre Shawn, un garçon adorable et Perry son premier copain qui l’a abandonné il y a plus d’un an. Pourtant, tout ça sera rapidement le dernier de ses soucis quand elle sera confronté à un événement qui entrainera une énigme époustouflante. Ce sixième tome, contrairement aux cinq premiers est écrit à la troisième personne, ce qui est loin d’être perturbant avec la plume de C. C. Hunter. Ce choix permet de passer d’un personnage à l’autre et de se retrouver dans une histoire hors du commun. La lecture est fluide, forte en émotion, le suspens s’accumule au fil des pages et rend le lecteur encore plus curieux. J’ai adoré le personnage de Miranda qui a muri depuis les derniers tomes, mais encore plus avec celui-ci qui lui ait consacré. Elle a un côté fragile et sensible qui la rend courageuse et forte. Elle est simplement spéciale. Shawn est attentionné et juste, ce qui le rend touchant et que malgré la situation on ne peut pas, ne pas l’apprécier. Perry est quant à lui taquin, plus sombre et il n’hésite pas à montrer et dire ce qu’il ressent. C’est ce côté authentique que j’ai apprécié, pas de carapace, pas de masque, Juste lui. Finalement, j’aurais juste apprécié voir un peu plus Kylie, ce personnage que j’ai pu découvrir durant cinq tomes. Elle a été le commencement et malgré tout elle méritait d’apparaitre davantage. Surtout, je l’avoue, pour combler un petit manque dans mon cœur. Pour conclure, ce sixième tome nous plonge dans une enquête fantastique à couper le souffle. C.C. Hunter a su créer un hors-série à la hauteur de la saga principale, mais surtout apporté une histoire à un personnage auparavant secondaire que tout le monde ne peut qu'adorer. Ce fut une conclusion parfaite. extraits « -J'ai appris une chose, reprit Perry. Ce ne sont pas nos parents ou notre ADN qui définissent qui on est. Ce ne sont ni nos erreurs, ni nos pouvoirs, ni nos handicaps. Ce sont les choix que l'on fait... et les petite décisions sont tout aussi importantes que les grandes. » « - Elle parlait d’Uber. Ce n’est pas une personne, déclara Shawn. ★Numérique: 9.99 € ★Broché : 13,90 € RésuméDepuis sa rencontre avec Dee et Daemon Black, la vie de Katy a changé du tout au tout. Car si Dee est une amie adorable dotée d'un frère terriblement sexy, ils sont cependant une source d'ennuis quasi intarissable... Entre la Défense qui cherche à tout prix à savoir de quoi Daemon est capable et la mystérieuse "trace" qui poursuit Katy, le lien qui l'unit au jeune homme sera mis à rude épreuve. Un péril plus grand que celui de la vérité ? Rien n'est moins sûr... mon avisLu en septembre 2017 J’ai à peine attendu quelques semaines avant de me lancer dans la suite de cette saga. Depuis le temps que je voulais la commencer j’étais impatiente de la poursuivre, sans grande surprise cette suite fut autant surprenante que le premier tome et donc, un nouveau coup de cœur. Dans ce second tome nous reprenons là où nous nous sommes arrêté. Alors que le premier tome était basé sur la chasse aux arums, celui-ci est sur le gouvernement Américain surnommé la défense. Ces derniers sont prêts à tout à avoir ce qu’ils veulent et c’est là que se crée une véritable enquête. Onyx mélange les complots, la trahison et les mensonges, au point de faire perdre la tête aux personnages et aux lecteurs. On craint tout le monde et on ne sait plus qui croyait, a même quoi pensé de la situation. C’est ce qui fait que la lecture est chargée en rebondissement. Dans la seconde partie de ce tome, l’action et la romance s’entrechoquent pour permettre à l’histoire de prendre une autre tournure. Entre Deamon et Kathy c’est assez compliqué puisque l’adolescente le fuit sans grand succès et entre eux ça évolue lentement, mais à la bonne vitesse. Le point fort de cette suite, c’est l’évolution des personnages qui est constatée. En commençant par Kathy qui est plus forte, courageuse et plus sûre d’elle. Une grande partie du roman est basée sur ses capacités ce qui permet d’en apprendre plus sur cet univers. Daemon est toujours aussi charismatique, arrogant, têtu, tendre et protecteur. Pourtant on va également le découvrir vulnérable et ça c’est touchant. Sa sœur Dee grandit et est plus mûre, cependant elle est moins présente et c’est ce qui m’a le plus manqué. Jennifer Armentrout sait surprendre le lecteur et transmettre avec des mots des émotions et sensation incroyable. Elle apporte des touches d’humour qui permet un peu de légèreté. J’ai pu remarquer avec les deux premiers tomes de cette saga, que plus on approche de la fin, plus il est difficile de lâcher le roman tellement l’auteur tient le lecteur en haleine. Puis une fois terminer, on veut seulement la suite… Pour conclure, la plume fluide de Jennifer Armentrout a su rythmer comme il le fallait l’intrigue, le changement et les émotions pour construire une suite magnifique. extraits« La terre semble se rappeler les événements de cette nuit-là et refuser d’effacer son souvenir. » « Les mots étaient le plus puissant des instruments. Simple et souvent sous-estimé. la saga★Numérique: 9.99 € ★Broché : 14.95 € en partenariat avec :en lecture commune avec :RésuméUn premier amour inattendu. Le poison de la rumeur. Le récit d'une seconde chance. mon avisLu en décembre 2017 J’ai entendu parler de ce livre bien longtemps avant qu’il ne sorte en France. Sa couverture m’a beaucoup attiré, ainsi que les thèmes abordés dans le mystérieux résumé. J’ai été agréablement surprise par cette lecture que j’ai eu la chance de lire durant les fêtes de Noël. Sierra est une adolescente qui part chaque année quelques semaines en Californie pour travailler dans la plantation familiale de sapin. C’est pour elle l’occasion de retrouver sa meilleure amie d’enfance Heather et ses habitudes. Ces dernières vont cependant être chamboulées par la rencontre de Caleb et c’est ainsi qu’une douce romance de Noël va voir le jour. En effet, c’est sans surprise qu’on sait dès le début la tournure que prendra l’histoire, même si on ne sait pas à quoi s’attendre exactement. Caleb est un adolescent qui est rongé par une rumeur qui lui pèse et qui impact autant sa vie familiale que social. À ses yeux, Serria sera une rencontre particulière qui ne sait rien de lui. Du moins, jusqu’à ce qu’il se rappelle que les rumeurs parviennent toujours aux oreilles des autres. Avec le temps, Sierra arrivera à passer au-dessus car pour elle suivre son intuition est bien plus important. C’est justement cette maturité et son côté fidèle envers ceux qu’elle aime qui rend ce personnage aussi attachant et touchant par son humanité, sa bienveillance et sa curiosité. Quoique ces deux-là soit les personnages principaux, les personnages secondaires n’ont pour autant pas été négligés, au contraire ils sont très bien travaillés. Que ce soit les parents de Sierra, le copain de Hearther ou même les amis d’enfance de Caleb, chacun d’entre eux est réalistes et bien construit ce qui apporte un plus. Alors, lire ce roman en hiver nous met dans l’ambiance abordé ,dans la saison en elle-même. J’ai aimé cette histoire pour son originalité puisque pour moi, cette histoire est tout simplement unique en son genre. Ce que je regrette cependant et c’est ce qui a fait que ce n’est pas un coup de cœur. C’est le sujet de la rumeur que j’aurais aimé voir plus exploité pour apporter encore plus de profondeur à la lecture. Même si la plume de Jay Asher a su m’emporter dans son univers entouré par les sapins et la neige. Pour conclure, What Light est une histoire typique de Noël qui aborde des sujets importants malgré un manque d’approfondissement pour certain. C’est l’espoir qui est mis en avant dans cette histoire et c’est ce qui rend la lecture unique malgré tout. EXTRAITS« – C’est ton cœur à toi. Personne n’a son mot à dire. Parfois même la personne à qui appartient le cœur n’a pas son mot à dire. » « Le croissant de lune projette des ombres immenses sur le flanc de la colline. Quand nous atteignons la clairière, j’éclaire mes sapins un à un. » ★Numérique: 9.99 € ★Broché : 15 € ★Poche: 6.95 € RésuméNée pour trahir et faite pour tuer, Ivy est désormais condamnée à mort !Condamnée à l'exil pour ses crimes, Ivy se retrouve seule au-delà de la barrière qui protège les siens d'un monde hostile, dévasté par l'arme atomique des décennies plus tôt. Trahie par sa famille, abandonnée par Bishop, elle doit quitter Westfall et s'enfonce dans la nature sauvage et découvre qu'elle est habitée. Mais la ville où elle est née se tord dans les convulsions d'un coup d'État, et le chaos ne tarde pas à régner. C'est un Bishop différent qui débarque dans le camp où Ivy s'est réfugiée, un Bishop qui a découvert, entretemps, plus d'une vérité. Il est temps pour la jeune fille de décider ce qu'elle compte faire : se venger ou... faire la révolution ? mon avisLu en octobre 2017 Après avoir eu un énorme coup de cœur pour le premier tome, j’ai énormément repoussé la lecture de celui-ci. Alors un an et demi plus tard, j’ai enfin décidé de le sortir de ma PAL pour connaître le fin mot de l’histoire. Ce second tome nous plonge dans un univers et une tournure totalement différente du premier. Dans The révolution of Ivy nous retrouvons notre héroïne là où nous nous étions arrêté. Elle se retrouve livrée à elle-même dans un monde hostile avec cette fois-ci pour seule mission : vivre. Durant le chemin, notre héroïne rencontrera Caleb et Ashley qui sont un frère et une sœur adoptif. Ashley est touchante et possède une personnalité bien à elle, tandis que Caleb est dur à cerner, mais il réussit à intriguer le lecteur dès le début. Ils vont devenir pour Ivy un soutien quotidien, ils vont l’aider à se débrouiller dans ce nouvel environnement et à forger son caractère. Ivy connaîtra une réelle évolution, elle sera alors plus endurcie et courageuse. Auparavant elle était contrôlée et on découvre un personnage si humain. J’ai aimé sa façon de penser, sa force d’esprit, son tempérament. « Je relève la tête et m'essuie les yeux. Fille. Épouse. Tueuse. Traîtresse. Ce sont toutes d'anciennes versions de moi. A partir de maintenant, je deviens une survivante. » Bishop est lui aussi un personnage que j’ai adoré, pour sa maturité, sa gentillesse, sa fidélité. Il est une force pour Ivy, il sait faire les bons choix et réfléchir comme il faut. Juste en lisant le titre, en tant que lecteur on a des attentes, on s’interroge sur l’évolution de cette situation. Or, la révolution d’Ivy n’a rien à voir avec ce dont on est confronté généralement en dystopie. C’est principalement une révolution pour notre héroïne. Durant la lecture, les pages défilent sans qu’on les sentent se tourner. Puis la fin approche et mon cœur de lectrice se brisent. J’ai trouvé que les trente dernières pages prenaient aux tripes et la fin fut à mes yeux époustouflante. Pour conclure, cet ultime tome montre un univers plus affirmé et une réelle évolution pour le personnage d'Ivy. Amy Engel a su apporter un point final à cette aventure avec merveille. extraits« Le courage, c'est en partie reconnaître sa propre culpabilité. » « - Tu n'étais pas obligé de venir. Tu avais le choix. la sagal'avis de mes copines★Numérique: 9.99 € ★Broché : 16,90 € RésuméAprès dix-huit ans d'enfermement en institution psychiatrique, à moi la liberté. Les choses ont changé. Blake, mon frère, a épousé Melody. Pendant mon absence, ils ont donné naissance à ma nouvelle obsession : Cereus, ma ravissante nièce qui ignore tout de mon existence. Me voilà bientôt rattrapé par mon passé, mes erreurs et mes pulsions. Je voudrais ne pas leur laisser libre cours, mais il n'y a pas de remède à ma maladie : je suis vide. Né sans âme. Je ne peux ni aimer, ni éprouver des émotions... S'il faut une âme pour faire de nous des êtres humains, alors que suis-je, moi ? mon avisLu en août 2017 Le premier tome de cette saga a été une merveilleuse surprise et un gros coup de cœur. Vu la tournure des événements dans le tome précédent, je redoutais la suite. Nous retrouvons nos personnages dix-huit ans plus tard. Ryan sort guéri après autant de temps passé en hôpital psychiatrique. Du moins c’est ce que les médecins croient. Son objectif sera de retrouver sa nièce et à force ça deviendra pour lui une obsession, un besoin. Malgré les années, Melodie est toujours autant traumatisée et ses cauchemars referont peu à peu surface. Son mari, Blake, consacrera alors son temps à la protection de sa famille. Ce tome est consacré au point de vue de Blake et Melody, cependant nous sommes principalement concentrés sur Ryan. Pour le lecteur, être dans la tête de Ryan c’est assez dérangeant et déstabilisant. C’est même difficile de visualiser certaines scènes et d’accepter son comportement, ses actes, ses pensées. Il est froid, sombre, cruel et manipulateur. Pourtant, on cherche quand même ce bon côté, ce changement qui est envisageable. Il est très mauvais et pourtant c’est dur de réussis à le détester. Auprès de Cereus, sa nièce, il se sent presque vulnérable et ce qu’il ressent est incompréhensible. L’histoire garde le code de la Dark Romance. Ryan est plein de noirceur et sa nièce sera à ses yeux sa lumière. Ker Dukey a su créer une relation oncle/nièce d’une manière intéressante. À travers sa plume prenante, le lecteur garde une certaine méfiance que ce soit envers un personnage ou un simple détail. C’est comme pour prévoir l’imprévisible, même si au final beaucoup de révélation m’ont surprise. Cependant, il est vrai que certaine scène étaient prévisible sans pour autant gâcher le plaisir de la lecture. L’univers de ce tome est totalement différent, plus sombre et aborde des thèmes durs tel que la violence, le viol, le meurtre. L’auteur met en place un côté dur psychologiquement pour le lecteur. Cependant, même si ce fut une belle lecture, ce n’est pas un coup de cœur. La fin me donne encore une fois envie de connaître la suite, alors je suis impatiente qu’elle sorte. Pour conclure, ce second tome est plus sombre, puisqu’il est consacré à un personnage dérangé mentalement qui se retrouve quelque peu humanisé. L’auteur démontre alors tout au long de ce récit que chaque noirceur peut trouver une lumière. extraits«- Mon silence devrait te mettre sur la piste. Il devrait t'indiquer à quel point ta voix est chargée de mensonges qui te noircissent la langue, et de faire prendre conscience des dégâts qu'ils occasionnent.» « Les gens pensent que la solitude, c’est être seul. Mais la véritable solitude, celle qui vous vrille les tripes, c’est d’être en présence de la personne que l’on aime et de se sentir pourtant délaissé. » l'avis de mes copinesla saga★Poche: 7.90 € ★Broché : 16 € résuméLenah n’est plus la vampire cruelle et sanguinaire qu’elle fut pendant plus de cinq cent ans. Aujourd’hui son vœu le plus cher vient de se réaliser. Elle est redevenue humaine, grâce à un rituel pratiqué par Rhode, son âme-sœur depuis des siècles. Mais comment vivre dans la peau d’une jeune fille de 16 ans quand on a presque tout oublié de l’amour et de l’amitié ? De plus, même sous l’apparence d’une lycéenne ordinaire, Lenah doit rester sur ses gardes : le clan de vampires sur lequel elle a autrefois régné est prêt à tout pour faire revenir sa souveraine… mon avisLu en août 2017 Je n’avais jamais entendu parler de ce roman avant de tomber dessus en librairie. J’ai immédiatement trouvé la couverture sublime et le résumé prometteur grâce à son concept original. La signification du titre est facile à comprendre, cependant il y a tellement plus derrière ce simple « Humaine » et ça a été un plaisir de le découvrir. Lenah est un vampire de plus de cinq cents ans qui aura recours à un rituel qui la fera devenir humaine. Elle deviendra une adolescente de seize ans qui va apprendre de nouveau ce que sont les sensations humaines comme apprécier le soleil sur sa peau, découvrir la modernité du 21 ème siècle. À côté de ça, elle se retrouvera traquée par son ancien cercle qu’elle a abandonné pour vivre sa nouvelle vie. Lenah est d’une sensibilité qui ne peut que nous toucher. Par ses découvertes, elle apporte une légèreté à l’histoire et une touche d’humour apaisante. L’histoire prend un peu de temps à s’installer ce qui rend le début assez lent, même si durant ma lecture je ne me suis à aucun moment ennuyé. J’ai même eu beaucoup de mal à déposer mon livre tellement ma curiosité était en alerte. L’histoire comporte des flash-backs qui apporte un plus au récit. Le lecteur voyage à travers les différentes époques toute en étant dans la tête de Lenah quand elle était un vampire sans pitié. Par conséquent, ça nous permet de comprendre ce personnage, ses décisions, son points de vue, son caractère, mais surtout l’apprécier. « - Pourquoi n'as-tu pas peur de mourir ? Rebecca Mazeil a su mettre en avant sa plume en combinant la cruauté d’un vampire et une adolescente de seize ans qui veut recommencer sa vie. Elle a su faire oublier à Lenah et au lecteur la réalité. Les personnages secondaires sont également touchant à leurs manières. Rhode est celui qui a su me conquir dès la première page, même s’il est peu présent dans le roman. Tony est quant à lui un ami fidèle, amusant et passionné par l’art. Le seul reproche que je pourrais faire, c’est un manque d’action qui aurait pourtant rendu l’histoire encore meilleure. Ce premier tome aura donc frôlé le coup de cœur pour ma part. La fin du roman est magnifique et je m’intéresse à la manière dont l’auteur aura tourné son second tome. Cependant, j’avoue rester quand même laissé assez perplexe puisque cette histoire aurait pu être un tome unique. Pour conclure, ce premier tome a su jouer la carte de l’originalité malgré un manque d’action. Rebecca Mazel met en place le renouveau, la seconde chance et la découverte de l’humanité avec beauté. extraits« - Tu veux venir au bal d'hiver avec moi ? « À l'instant où le soleil se lève, il commence aussi à se coucher. Au moment de notre naissance, nous commençons à mourir. Toute la vie est un cycle, Tony. » |
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